CE FLORILÈGE EST UN PEU LONG MAIS PERMET DE SURVOLER INTÉGRALEMENT L' OPÉRETTE.
ANNA MOFFO EN DEHORS DE SA BEAUTé MANNEQUINESQUE POSSEDAIT UNE VOIX LARGE. ELLE CHANTAIT AUSSI BIEN MIMI QUE THAIS EN PASSANT PAR TRAVIATA (RECRéEE POUR ELLE AU MET PAR BEATON DANS UNE PRODUCTION HOLLYWOODIENNE).
C'EST AINSI QUE MUNIE DE CET ORGANE EXCEPTIONNEL, DE CETTE SILHOUETTE DE RÊVE ET D'UNE INTERPRETATION CLASSIEUSE, MOFFFO AURAIT PU FAIRE ENTRER "LA VEUVE JOYEUSE" AU REPERTOIRE DE L OPERA TOUT COURT : MAIS ELLE Y CHANTAIT DEJA TOUT Y COMPRIS LA PERILLEUSE LUCIA.
ON LUI A REPROCHé SON CôTé GLAMOUR; EST-CE UN SI GRAND MALHEUR QUE D'êTRE BELLE POUR UNE CANTATRICE?
DANS CE CAS LA CRITIQUE S'EN SORT AVEC UN : "C'EST UNE GRANDE ARTISTE."
UNE AUTRE BELLE "VEUVE " FUT SCHARTZKOPF. LA FACILITé ÉTAIT PRESENTE MAIS PAS LE VOLUME.
UNE AUTRE ENCORE FUT ÉBLOUISSANTE : GWENNETH JONES, MAIS C'ÉTAIT LA "VEUVE" DE WAGNER ET NON CELLE DE LEHAR.
CE QUI, AU DEMEURANT EST DÉJÀ TRÈS BIEN.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire