Je ne verse pas une larme ,même de sang pour cet extrait de film qui est un court métrage stupéfiant et qui annonçait la décadence de Jean-Paul II et de Benoit XVI et de l'église tout court. De tout temps les visionnaires ont abreuvé la gorge sèche d'un pouvoir qui se refusait à "voir". Aujourd'hui encore, il regarde mais ne voit rien
ce pouvoir qui ne peut plus rien que se gausser de l'avoir obtenu. Et maintenant que nos apôtres des grandes écoles ont le pouvoir, ils ne savent qu'en faire, à part satisfaire certains caprices, histoire de faire semblant d'exister.
Avec l'image du pape plus papal que papal s'effaçant au fur et à mesure que les spots s'éteignaient, c'était le monde du cinématographe qui rendait l'âme.
Je ne verse pas une larme mais une âme défunte et incinérée. Du moins celle de ce temps là.
C'était le temps ou Bruxelles bruxellait.
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