A part (20 ans plus tard) Tsiskaridze, dans LE CORSAIRE je n'ai jamais vu danser avec autant de fougue d'insolence; ni sauter aussi haut.
Plus tôt, (cette fois c'est moi qui avait à peine 20 ans) Nous étions Karinska et moi seuls à l'orchestre, et si elle ne m'avait dit à l'oreille:
- Vous rendez-vous compte que nous ne sommes que deux à le voir répéter (il s'agissait de LA BELLE AU BOIS DORMANT) et que peut-être ce soir lors de la représentation il dansera moins haut et moins bien.
Sans cette femme effectivement, je trouvais naturel que l'on danse exceptionnellement.
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